jameaux-bordeaux

En face de notre appartement, sur un mur de clôture

d'une ancienne propriété des dessins ont été peints :

sur une largeur d'environ 30 mètres les couleurs sont très recherchées.

Le temps a fait son oeuvre : les couleurs sont restées vives mais parfois délavées.

Le décollement des pigments a laissé paraitre les enduits précédents.

Les différentes vues montrent ces variations colorées.

L'auteur bordelais se nomme KENDO

Je conserve avec soin ce vieux Polaroïd

acheté en 1966 à La Souterraine (Creuse). Il permettait de regarder

aussitôt les photos prises : enfants et paysages.

Complément du texte de Francoise

L'eau et ses reflets m'intriguent !

Les miroirs qui sont de l'eau figée (ne disons nous  pas des glaces )

jouent le même rôle.

Voici quelques images prise à Bordeaux & Mérignac depuis 5 ans.

Une photo envoyée par Danielle Krol ce jour

incite à ajouter quelques images.

Ces lichens vus sur une toiture en amiante ciment près de la Gare de Bordeaux-Caudéran étaient très lumineux

Depuis, la sécheresse à fait disparaitre ces merveilles aux couleurs très proche du réel !

Détail de la « ville-vieille » médiévale de Nancy d'après le plan :

« La ville de Nancy, Capitale de Lorraine, pourtraicte au vif comme elle est ceste année 1611. »

Commandé par Claude de la Ruelle, Secrétaire du Duc Charles III de Lorraine,

dessiné par Ferri Brentel, et gravé par Herman de Loye en 1611.

A Nancy, la barbacane, entourée d’un fossé, protège la porte Saint-Nicolas :

entrée sud de la cité, à la quelle on accédait en empruntant un pont.

La « barbacane » est un ouvrage de fortification avancée assurant la défense d’une porte.

Utilisée déjà au XII siècle au Moyen-Orient, elle est introduite en Europe parr les Croisés au début du XIIIe siècle.

Ses formes architecturales sont variées (demi-circulaire ou polygonale),

et ses matériaux de construction divers ( levée de terre, palissade en bois ou en pierre).

L’existence de la barbacane était totalement ignorée jusqu’en 1991,

quand elle fut découverte lors de la fouille archéologique du site.

Ce nouvel ouvrage de fortification commencé vers 1560 porte le nom de Barbacane d’Haussonville,

gouverneur de la place de Nancy (1560-1563).

il est l’un des huit bastions qui constituèrent le « front bastionné » de la ville Vieille.

Lors de ma dernière visite chez mon fils Thierry, rue du Maure Qui Trompe,

une viste au Musée a permis de photographier, en intérieur, 

les vestiges de la barbancane. Les marquent des tailleurs de pierre m'ont intéressé.

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